17/9/2022

Il y a une phrase à ne jamais prononcer devant Julien Granel : “Tu ne peux pas le faire”. L’impossible le tente, l’excite. Le défi comme oxygène. C’est un enfant des Landes, aujourd’hui 23 ans, qui navigue désormais entre Paris, Bordeaux et le monde.
C’est par l’apprentissage du piano au conservatoire que tout commence dès l’âge de 6 ans. Ses oreilles et son âme ont très vite compris que l’émotion primait toujours sur le genre. Julien aime, de tout son cœur, que ce soit de la pop, du rock, de l’électro, du rap. Il découvre et n’est jamais rassasié. Le premier album de Mika, Moby, Soulwax, 2 Many DJ’s, Yuksek, Freddie Mercury, David Bowie et sa chanson “Life On Mars”, une autre révélation, Justice, la première compilation Ed Banger, les chansons des autres l’envahissent et le guident vers ce qu’on appelle l’identité. La sienne, d’identité. Forte, sensible, où la création préfère systématiquement la liberté aux gimmicks et aux facilités contemporaines.
Sa musique est pop et solaire, c’est un rayon de lumière qui caresse les dernières résistances : “Elle est à la fois hyper dynamique, hyper dansante, parce que j’ai ce truc de house anglaise qui traîne en moi et elle a ce truc de live parce que j’ai fait des centaines de live dans ma vie et c’est ce qui me transporte” précise-t-il.
Cette passion du live l’emmène aujourd’hui sur les scènes des Zéniths partout en France en première partie de son amie Angèle. Changement de perspective pour cet enfant des Landes qui, loin de se contenter d’une casquette assure aussi les premières parties de Maxenss et jouera en tête d’affiche pour la première fois au théâtre des Etoiles à Paris le 3 décembre prochain.
Après son titre ‘Défait’, véritable hymne repris en chœur pendant les concerts avant même sa sortie, et ‘Danse encore’ voici le désormais EP ‘Bagarre Bagarre’ dans lequel on retrouve, des couleurs, des mélodies, de la liberté, l’honnêteté, de la fantaisie et de l’engagement !